
Le 15 novembre est la Journée mondiale de l’écrivain emprisonné organisée par le PEN International (Promoting literature and freedom expression) qui défend plus globalement la liberté d’expression à l’international. Je souhaite donc mettre en avant des auteurs et autrices ayant subi une répression politique, quelle qu’elle soit.
Selon d’où nous sommes nous pouvons avoir une vision biaisée de la liberté d’expression. Ce n’est pas un droit évident partout et des pressions réelles existent. C’est un droit pour lequel des femmes et des hommes continuent de donner leur vie. Ce combat, je souhaite le mettre en avant avec une sélection d’oeuvres d’hier et d’aujourd’hui.
Programme de lecture :
Les chercheurs d’os de Tahar Djaout (Points, 2001)
L’espoir à l’arraché d’Abdellatif Laâbi (Le Castor Astral, 2018)
Prison N°5 de Zehra Doğan (Delcourt, 2021)
Le bâtiment de pierre d’Asli Erdoğan (Actes Sud, 2013)
Cette odeur-là de Sonallah Ibrahim (Actes Sud, 1993)
L’aurore de Selahattin Demirtaş (Emmanuelle Collas, 2018)
Anna Politkovskaia. Journal d’une dissidente de Francesco Matteuzzi et Elisabetta Benfatto (Steinkis, 2016)
Dans l’empire des ténèbres de Liao Yiwu (Globe, 2019)
Une journée d’Ivan Denissovitch d’Alexandre Soljenitsyne (Julliard, 1963)
Tous les articles en lien avec la thématique mensuelle sont identifiables grâce à l’icône 👁.
Et vous, quel· livre·s conseillez-vous sur ce sujet ?