Un mot, trois livres | Organe

Je reviens avec le rendez-vous hebdomadaire : Un mot, trois livres.

Le but ? S’amuser avec les mots et choisir trois livres : un livre lu, un livre qui attend sagement dans ma PAL et un livre que je n’ai pas mais qui me fait (très) envie.

Le mot peut concerner la couverture, le titre ou le contenu du livre, ou encore un mélange de plusieurs de ces critères.

Ce format me permet :
• de remettre en avant des livres dont je n’ai plus forcément l’occasion de parler
• de redécouvrir des livres en sommeil dans mes bibliothèques et de relancer mon envie de les lire
• de découvrir des livres qui attendent d’être adoptés

N’hésitez pas à reprendre cet article récurrent si vous le souhaitez, l’idée est de partager chaque semaine des idées de lectures !

Le livre lu

Quatrième de couverture : « Jean-Louis Fournier fait le mort sur une table d’autopsie. Il analyse sa personnalité, ses réflexions et sa vie. Il s’amuse de ses petits travers d’humain et propose de se réconcilier avec eux, en les associant à un trait positif de son caractère, ainsi son orgueil et son humilité, son indifférence et sa sensibilité, sa poésie et sa cruauté. »

Le livre de ma PAL

Quatrième de couverture : « Deux frères que tout sépare : Toby, qu’on prend pour un Blanc, brillant à l’école, éduqué en métropole, défenseur public des opprimés ; et Jaran, le plouc noir de cuir, resté au village avec les copains… A la mort de Toby, Jaran s’en va errer toute une nuit par les mauvais chemins, à la poursuite du souvenir de ce frère trop haï, trop aimé, avec lequel il a encore tant de comptes à régler… Un Brival de bonne et rude cuvée, qui envoie promener les bons sentiments et qui nous rappelle qu’au pays du mélange la couleur de la peau n’est jamais une petite affaire. »

Le livre qui me fait envie

Quatrième de couverture : « Elles ont 7 ou 9 ans à New York. Elles s’appellent Christina, Lucy, Frangie ou Annie… Elles partagent des lits à punaises et des parents chinois qui luttent chaque jour pour les nourrir, leur payer l’école et les faire grandir dans le rêve américain. C’est leurs voix qui nous parlent, spontanées, crues, bouleversantes, elles racontent une enfance dans les marges, le racisme et la violence quotidienne, et l’amour immense des parents qui les protège et les étouffe. C’est ainsi qu’elles apprennent à sortir de l’enfance avec une audace et une soif de vivre qui éclatent à chaque page. »

Et vous ?

Un mot, trois livres | Promenade

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Le but ? S’amuser avec les mots et choisir trois livres : un livre lu, un livre qui attend sagement dans ma PAL et un livre que je n’ai pas mais qui me fait (très) envie.

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Le livre lu

Quatrième de couverture : « Des nuages noirs assombrissent l’horizon. En les voyant s’approcher, chacun se demande : Quand vont-ils arriver ? Combien de temps cela va-t-il durer ? La tempête bouscule tout. Un homme et son chien font face à l’incertitude, à la séparation, à l’inconnu. Ils nous montrent que l’on peut traverser les moments difficiles autrement et savourer ce qui compte vraiment dans la vie. »

Le livre de ma PAL

Quatrième de couverture : « Une rue passante, une rue pleine de vie. Une rue vue à hauteur d’un homme à terre. Un SDF. Depuis son monde intérieur, un monde obscur traversé de quelques lumières et de rares espérances, il contemple l’indifférence, lui, l’invisible. »

Le livre qui me fait envie

Quatrième de couverture : « Au fil des saisons et de ses promenades, Yao Ren nous invite à découvrir des détails furtifs et éphémères de la Chine contemporaine. Il nous décrit l’atmosphère d’un lac gelé en hiver, observe l’organisation secrète des chats dans l’environnement urbain, ou évoque un modeste restaurant de quartier, dont les plats raffinés concoctés par le vieux chef attirent une clientèle conquise et hétéroclite. Ces récits sont de petites bulles poétiques où le temps semble suspendu, pour une lecture apaisante doublée d’une ode à la contemplation. »

Et vous ?

Un mot, trois livres | Bleu

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Le livre lu

Quatrième de couverture : « Trois cousins juifs, Andrea, Martino et Cati, sont persécutés par les lois raciales de Mussolini à l’aube de la Seconde Guerre mondiale. Forcé de quitter Trieste pour New York, Andrea essaiera de retrouver une vie normale, hanté par les fantômes du passé. A travers le destin d’Andrea Goldstein, jeune homme juif, Andrea Serio nous fait percevoir avec douceur et empathie, l’intensité, la violence, la bêtise crasse et innommable de cette sombre époque, comme les prémisses mortifères de ce qu’à nos portes, certains de nos contemporains vivent aujourd’hui. »

>>> Lire la chronique

Le livre de ma PAL

Quatrième de couverture : « Sur fond de misère se joue la partition désenchantée d’une communauté injustement rejetée incarnée par une jeune enfant noire étourdissante de justesse. Le saisissant premier roman de Toni Morrison qui contient en germe tous les thèmes de son œuvre.

Avec L’œil le plus bleu, saisissant premier roman vibrant de douleur et de révolte, Toni Morrison marque son entrée en littérature. À Lorain, dans l’Ohio des années 40, Claudia et Pecola, deux fillettes noires, grandissent côte à côte. La première déteste les poupées blondes, modèles imposés de perfection qui lui rappellent combien sa haine est légitime. L’autre idolâtre Shirley Temple et rêve d’avoir les yeux bleus. Mais face à la dure réalité d’une Amérique Blanche, le rêve de beauté d’une petite fille est un leurre qui ne cède le pas qu’au fantasme et à la folie. »

Le livre qui me fait envie

Quatrième de couverture : « Il est désormais interdit de se servir du stylo rouge ! Le blanc du papier, l’encre bleue et les corrections écrites en rouge rappelleraient trop les couleurs honnies du drapeau français. C’est ce qu’apprennent avec stupeur Amine et Lilas en ce jour de rentrée des classes 1962. Pour les deux collégiens, une nouvelle histoire commence avec l’indépendance de l’Algérie… »

Et vous ?

Un mot, trois livres | Cauchemar

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Le livre lu

Quatrième de couverture : « De mémoire raconte une femme, Alya, qu’une tentative de viol réduit à l’immobilité et à la peur. Les insomnies et les cauchemars, la tristesse et la solitude dans laquelle son corps s’enferme l’éloignent de plus en plus d’elle-même. Elle s’engage dans le labyrinthe de la mémoire et se souvient. De chaque détail perdu dans la nuit de l’agression, de l’histoire familiale qui prend racine en Algérie, de la femme libre qu’elle croyait être. »

>>> Lire la chronique

Le livre de ma PAL

Quatrième de couverture : « Laissé par sa femme et son jeune fils, Tadek décide de quitter Jérusalem pour retrouver son père, qui croupit dans un hospice de Varsovie. Nous sommes en 1988, et la Pologne est grise derrière le rideau de fer. Jadis un ogre, une force de la nature, l’homme qu’il découvre n’est plus qu’un vieillard pitoyable, rongé par l’alcool et hanté par les atrocités de la Seconde Guerre mondiale dont il fut à la fois victime et bourreau. Une semaine durant, incapables de s’aimer ou de se haïr, père et fils vont s’affronter à la recherche d’une impossible réconciliation. Une magnifique histoire de filiation et de violence. »

Le livre qui me fait envie

Quatrième de couverture : « Elle a beau ne le porter dans son ventre que depuis sept mois, on comprend vite que cet enfant charpente toute la vie de Joana. Il est la réponse à son désarroi d’orpheline, l’aboutissement du couple qu’elle forme avec le pâle Jorge, plus qu’une raison d’être, une revanche. Aussi, quand elle se réveille d’un cauchemar prémonitoire, elle a perdu les eaux, mais non ses illusions. »

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Un mot, trois livres | Feuille

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Le livre lu

Quatrième de couverture : « Bedrich arrive dans la ville-ghetto avec femme et enfant. Il intègre le bureau des dessins. Il faut essayer de trouver chaque matin un peu de satisfaction en attrapant un crayon, jouir de la lumière sur sa table à dessin, pour enfin s’échapper du dortoir étouffant, oublier la faim, la fatigue et l’angoisse.

Chaque jour se succèdent commandes obligatoires, plans, aménagements de bâtiments. Chaque nuit, le groupe se retrouve, crayon en main, mais en cachette cette fois. Il s’agit de représenter la réalité de Terezin sans consigne d’aucune sorte. Et alors surgissent sur les feuilles visages hallucinés, caricatures. Tout est capté et mémorisé la nuit puis dissimulé précieusement derrière cette latte de bois du bureau des dessins. »

Le livre de ma PAL

Quatrième de couverture : « Aaliya Saleh, 72 ans, les cheveux bleus, a toujours refusé les carcans imposés par la société libanaise. Cette femme irrévérencieuse et un brin obsessionnelle traduit en arabe les œuvres de ses romanciers préférés : Kafka, Pessoa ou Nabokov. À la fois refuge et plaisir aveugle, la littérature est l’air qu’elle respire. Cheminant dans les rues, Aaliya se souvient ; de l’odeur de sa librairie, des conversations avec son amie Hannah, de ses lectures à la lueur de la bougie tandis que la guerre faisait rage, de la ville en feu, de l’imprévisibilité de Beyrouth. »

Le livre qui me fait envie

Quatrième de couverture : « La nature disparaît dans cette grande ville brumeuse où la pollution s’habille d’un brouillard épais. Les habitants semblent s’accommoder de cette atmosphère hivernale ouatée de mélancolie. Au nombre de feuilles mortes gisant à terre, répond celui des tuyaux qui trament cette ville. Mais un jour, parmi ce tas de feuilles, l’une d’elles rayonne d’une lueur bleue… Dans cette allégorie silencieuse au dessin captivant, Daishu La, originaire de l’ouest de la Chine évoque avec délicatesse et poésie l’urgence de transformer notre monde moderne afin de préserver une nature devenue très précieuse… »

Et vous ?

Un mot, trois livres | Parking

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Le livre lu

Le livre de ma PAL

Quatrième de couverture : « La jeune Rosa Maria rêve de soleil, d’amour, de calme… et de fuir la cité des 6000 où elle vit avec sa famille en région parisienne. En attendant ce grand jour, elle soupire en cachette pour le beau Jason qui ne la voit pas. Un incident avec la police provoque une émeute dans le quartier, qui précipite les destins des personnages… Un roman d’apprentissage qui oppose à la violence urbaine la force de l’innocence. »

Le livre qui me fait envie

Quatrième de couverture : « Ute accompagne sa fille de vingt-cinq ans faire une mammographie à l’hôpital, après une dispute féroce elle décide d’attendre sa fille dans la voiture au fond du parking. Un homme intrigué par son attitude vient lui demander si tout va bien et elle se coince maladroitement les doigts dans la portière.

À la veille de son cinquantième anniversaire toute la vie de Ute est bouleversée. Cette femme indépendante, professeur dans une université, qui a élevé sa fille seule, qui a toujours traité ses amants avec distance et indulgence, va rencontrer un inconnu et remettre en cause tout l’équilibre affectif précaire sur lequel elle a fondé sa vie.

Quarante-huit heures dans la vie d’une femme face à tous les possibles. »

Et vous ?

Un mot, trois livres | Neige

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Le livre lu

Le livre de ma PAL

Quatrième de couverture : « En 1932, Georg Friedrich Amberg, jeune médecin engagé par le baron von Malchin, quitte Berlin pour le lointain village de Morwede. Afin de soigner les paysans ? Pas si évident, car dans le secret de son laboratoire le baron vient de découvrir la neige de saint Pierre, un champignon parasite du blé capable d’agir sur les esprits comme une drogue. Et dont il compte bien se servir pour restaurer la ferveur religieuse… et le Saint Empire romain germanique. Mais la drogue, expérimentée sur les paysans de Morwede et l’entourage du baron, les fera brandir le drapeau d’une tout autre religion…

Interdit par les nazis dès sa parution en 1933, la Neige de saint Pierre est, par-delà l’enquête aux allures de rêve hallucinatoire, le roman de la manipulation et du pouvoir. »

Le livre qui me fait envie

Quatrième de couverture : « Sur une petite ligne de chemin de fer sur le point d’être désaffectée, quelque part en Hokkaidô, au bout du monde, un vieux chef de gare… Alors que les souvenirs se pressent en cette nuit de réveillon, une tempête de neige fait surgir du passé le fantôme de la petite fille du vieil homme, Yukiko, morte en bas âge, en même temps que tout ce qui était resté enfoui au fond de lui pendant un demi-siècle. Repli du temps juste avant la mort, comme pour achever un souvenir qui aurait ici le goût de l’enfance.

D’un récit à l’autre, voici le quotidien transfiguré par la grâce d’une rencontre. Comme si notre monde matérialiste et désabusé pouvait être aussi fertile en miracles que celui de jadis. Comme s’il ne fallait pas désespérer, alors même qu’on s’y attendrait le moins, de voir s’allumer l’étincelle dans la nuit. »

Et vous ?

Un mot, trois livres | Ferme

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Le livre lu

Le livre de ma PAL

Quatrième de couverture : « Novella inédite d’un des plus grands auteurs de nouvelles norvégien contemporain. Après une longue hospitalisation, une femme est de retour dans la ferme où elle a passé toute sa vie. Alitée dans la chambre d’ami de sa propre maison, celle où toutes les femmes de sa famille ont passé leur nuit de noce, où nombre d’invités sont passés, elle se remémore son existence, les moments fondateurs, les rencontres exceptionnelles qui l’ont agrémentée mais aussi certains traumatismes et secrets qui ressurgissent. À travers ce puissant flux de pensées transparaît également le quotidien d’une existence rurale et un questionnement sur la place et le rôle des femmes dans cet environnement, le travail de transmission, d’émancipation et la possibilité d’une affirmation de soi. »

Le livre qui me fait envie

Quatrième de couverture : « Dans une ferme du Wisconsin, Billy grandit dans l’admiration de son grand frère James, qui s’efforce de les protéger de la violence d’un père alcoolique. Heureusement, leurs voisins Ernie et Rosemary, qui n’ont pas d’enfant, les aiment comme des fils. Mais James s’engage dans les Marines et part au Vietnam, et Billy se retrouve en première ligne face à son père. Quand James est porté disparu au combat, c’est son souvenir qui soutiendra Billy pendant les difficiles années de l’adolescence. Et lui donnera le courage de devenir adulte. »

Et vous ?

Un mot, trois livres | Piano

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Le livre lu

Le livre de ma PAL

Quatrième de couverture : « En mars 1916, peu après avoir achevé son Trio en la mineur, Maurice Ravel rejoint Bar-le-Duc, puis Verdun. Il a quarante et un ans. Engagé volontaire, conducteur d’ambulance, il est chargé de transporter jusqu’aux hôpitaux de campagne des hommes broyés par l’offensive allemande. Michel Bernard le saisit à ce tournant de sa vie, l’accompagne dans son difficile retour à la vie civile et montre comment, jusqu’à son dernier soupir, l’énorme concerto du front n’a cessé de résonner dans l’âme de Ravel. »

Le livre qui me fait envie

Quatrième de couverture : « Il faut d’abord imaginer ce Grand Nord de la Chine aux si longs hivers, les fleurs de givre sur les vitres et l’explosion vitale des étés trop brefs. Puis Xiao’e, une jeune fille modeste, pas spécialement belle, dit-elle, pour qui la vie n’a jamais été tendre. Et puis Léna aux yeux gris-bleu et au mode de vie raffiné, qui joue du piano et prie en hébreu, dont le visage exprime une solitude infinie. Xiao’e rencontre donc Léna, une vieille dame juive dont la famille s’est réfugiée à Harbin après la révolution d’Octobre. Tout semble les opposer, pourtant on découvrira qu’un terrible secret les lie.

C’est un monde où les fantômes côtoient les supermarchés, où les blessures de l’enfance restent vivaces. A la fois désabusé et espiègle, tragique et gai. »

Et vous ?

Un mot, trois livres | Sport

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Le livre lu

Le livre de ma PAL

Quatrième de couverture : « Cloîtré dans un centre de désintoxication, Saul Indian Horse a décidé de raconter son histoire : son enfance au cœur du Canada, bercée par les légendes et les traditions ojibwés, rythmée par la récolte du riz et la pêche ; son exil à huit ans avec sa grand-mère, suite à un hiver particulièrement dur ; son adolescence, passée dans un internat où des Blancs se sont efforcés d’effacer en lui toute trace d’indianité. C’est pourtant au cœur de cet enfer que Saul trouve son salut, grâce au hockey sur glace. Joueur surdoué, il entame une carrière parmi les meilleurs du pays. Mais c’est sans compter le racisme qui règne dans le Canada des années 1970, même au sein du sport national. »

Le livre qui me fait envie

Quatrième de couverture : « Hiver 1956. Dans les Ardennes, François, un jeune homme de vingt-deux ans, s’enfonce dans la neige, marche vers les bois à la recherche d’un village. Croisant une voie ferrée qui semble désaffectée, il grimpe sur un wagon oublié… Quelques heures plus tard une enfant découvre François à demi mort – corps en étoile dans la poudreuse, en partie calciné.

Quel sera le destin de ce blessé dont les médecins pensent qu’il ne survivra pas ? À quelle épreuve son corps sera-t-il soumis ? Qu’adviendra-t-il de ses souvenirs, de son chemin de vie alors que ses moindres gestes sont à réinventer, qu’il faut passer du refus de soi au désir de poursuivre ?

Murène s’inscrit dans cette part d’humanité où naît la résilience, ce champ des possibilités humaines qui devient, malgré les contraintes de l’époque – les limites de la chirurgie, le peu de ressources dans l’appareillage des grands blessés –, une promesse d’échappées. Car bien au-delà d’une histoire de malchance, ce roman est celui d’une métamorphose qui nous entraîne, solaire, vers l’émergence du handisport et jusqu’aux Jeux paralympiques de Tokyo en 1964. »

Et vous ?

Un mot, trois livres | Poisson

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Le livre lu

Le livre de ma PAL

Quatrième de couverture : « Enfant pendant la guerre mais de santé fragile, le narrateur-auteur de ce livre échappe à l’armée et poursuit ses études. Devenu adulte, il incarne la chance plus ou moins confortable de ne pas avoir été l’acteur ou le témoin du pire. D’où quelques pointes d’absurde et d’ironie dans ses récits. Contemplatif, il se souvient de Tokyo : les incendies, les déménagements incessants, les expéditions en campagne pour trouver du riz, les usines de ses frères, où il travaillait adolescent en alternance avec l’école, les attirances pour les poissons rouges que chacun élevait en gage de protection face à la mort. Mais les dix nouvelles qui composent ce recueil ne s’inscrivent jamais sous le signe de la terreur, tant le narrateur lui préfère l’événement furtif du souvenir, telle l’image de ce bimoteur de combat par le hublot duquel, enfant, il a aperçu les visages de deux jeunes soldats américains… »

Le livre qui me fait envie

Quatrième de couverture : « Ikenna, Boja, Obembe et Benjamin ont désobéi aux ordres paternels. Les quatre frères sont allés pêcher dans les eaux du fleuve interdit, l’Omi-Ala. Ils savourent cette pêche clandestine, jusqu’au jour où le fou Abulu les maudit : Ikenna, l’aîné, mourra de la main d’un de ses frères. Peu à peu, le poison de la terrible prophétie infiltre les esprits… »

Et vous ?

Un mot, trois livres | Montagne

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Le livre lu

Quatrième de couverture : « Dans l’Italie glaciale de 1943, alors que les troupes allemandes battent en retraite, une patrouille américaine est envoyée en reconnaissance dans la montagne. Pendant deux jours et deux nuits, ces hommes vont endurer le froid, la fatigue et surtout la peur : peur de se perdre dans ce labyrinthe boisé, d’être trahis par leur guide, surpris par les tireurs embusqués. Et puis ils sont hantés : par la nostalgie d’un temps de paix, et par la culpabilité face au crime de guerre qu’a commis leur sergent, alors que leur parvient la rumeur des massacres. Peuvent-ils conserver leur dignité ? Peuvent-ils même espérer survivre ?

Moraliste et humaniste, Bausch nous parle, avec Paix, de la guerre. De toutes les guerres. Et si ce cauchemar hivernal est ancré dans un contexte historique précis, sa puissance et son intensité lui donnent une portée universelle. »

Le livre de ma PAL

Quatrième de couverture : « En novembre 2017, Raphaël  Krafft  part en reportage à la frontière franco-italienne au niveau du col de l’Échelle. Il accompagne un habitant de la région parti en maraude à la rencontre d’éventuels migrants venus d’Italie, perdus dans la montagne au milieu de la nuit. Les premières neiges viennent de tomber. Ce soir-là, ils découvrent cachés dans un bosquet, transis de froid, quatre mineurs tous originaires d’Afrique de l’Ouest. Alors qu’ils les emmènent en voiture dans un lieu dédié à l’accueil des personnes migrantes, la gendarmerie les arrête avant d’abandonner les quatre adolescents dans la montagne au niveau de la borne frontière. Trois d’entre eux sont guinéens, comme la majorité des jeunes migrants qui passent par ce col.

Marqué par cette expérience, Raphaël Krafft se lie d’amitié avec les habitants du village de Névache situé juste en dessous du col et propose aux enfants de l’école communale de partir pour eux en Guinée réaliser des reportages et les aider ainsi à comprendre pourquoi tant et tant de jeunes décident de quitter leur foyer. Là-bas, il découvre un pays démuni, marqué par des années de dictature.  »

Le livre qui me fait envie

Quatrième de couverture : « Une terrible sécheresse contraint la population d’un petit village de montagne à fuir vers des contrées plus clémentes. Incapable de marcher des jours durant, un vieil homme demeure, en compagnie d’un chien aveugle, à veiller sur un unique pied de maïs. Dès lors, pour l’aïeul comme pour la bête, chaque jour vécu sera une victoire sur la mort. Ce livre est d’une force et d’une beauté à la mesure de cette plaine couronnée de montagnes dénudées où flamboie un soleil omniprésent. Le roman de Yan Lianke est un hymne à la vie. La fragilité et la puissance de la vie, et la volonté obstinée de l’homme de la faire germer, de l’entretenir, d’en assurer la transmission. C’est un acte de foi, aux confins du conte et du chant, à la langue comme jaillie de la nuit des temps ou des profondeurs les plus intimes de l’être. »

Et vous ?

Un mot, trois livres | Loin

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Le livre lu

Le livre de ma PAL

Quatrième de couverture : « 15 août 1945, la défaite du Japon est consommée. Au quartier général des forces armées de Kyushu, l’île du Sud-Ouest de l’archipel, ordre est donné par l’état-major d’abattre les derniers américains prisonniers. L’officier Takuya Kiyohara, fidèle à sa hiérarchie, se porte volontaire pour l’exécution. Quelques semaines plus tard, il est recherché pour crime de guerre. Une longue fuite commence, une errance fantomatique, hallucinée, au cours de laquelle il tente de se fondre dans l’anonymat de la population civile d’un pays occupé, anéanti par les bombardements et désormais humilié par les vainqueurs. »

Le livre qui me fait envie

Quatrième de couverture : « Jean et Simon sauront-ils retrouver Roger ? Ce dernier a fui une mère colérique pour courir après un rêve, devenir une star du football. Quitter Douala, passer par le Nigeria pour finir en Europe : cela s’appelle faire le boza. Les péripéties de Jean et Simon aux trousses de Roger ont tout du voyage initiatique : ils découvrent le Nord du Cameroun, une région à la nature somptueuse, quoique sinistrée par Boko Haram et la pauvreté, goûtent aux fêtes. Mais le petit Jean se confronte aussi à l’éloignement d’avec la mère et à l’apprentissage d’une identité sexuelle différente. »

Et vous ?